"Le public berjallien est une force"
Notre néo berjallien, T. ROBERT, fraîchement arrivé en berjallie a accepté de répondre à nos questions, rendez-vous avec notre numéro 29.
Peux-tu te présenter pour ceux qui ne te connaissent pas encore ?
« Tony ROBERT, j’ai 20 ans et j’évolue au poste de latérale gauche. Au sein de mon parcours jeune, je suis très vite partie à l’étranger. Je jouais en U17 Nationaux à St Priest, à la suite de ma saison, je devais signer à Lorient, mais finalement, ça ne s’est pas fait et j’ai signé pour le PAOK en Grèce avec lequel j’ai joué en réserve. Après cette expérience, j’ai eu un an sans club en lien avec le covid, avant de signer en 3e division de République Tchèque en début de saison dernière. La deuxième parti, j’ai rejoint Yverdon en Suisse avec lesquels je finis champion et accède à la première division suisse. Après avoir commencé la saison, là-bas, je pars et je décide de rejoindre le FCBJ où j’ai pu discuter avec le coach et réaliser un essai qui s’est avéré concluant.«
Tu as pu être sélectionné avec l'équipe internationale de Madagascar, c'est une fierté pour toi à ce si jeune âge ?
« Oui, surtout, car ma mère est malgache, c’est pourquoi quand j’ai appris qu’il voulait me prendre avec les baréa, j’ai tout de suis dis oui, c’est une grande fierté.«
Est-ce que tes expériences à l'étranger t'ont permis d'étoffer ton jeu ?
« Oui, elles m’ont appris plein de choses comme différents styles de jeu. Ce n’est pas le même style de jeu selon les pays, et ça m’a permis de prendre de l’expérience, de la maturité. »
Quels sont tes objectifs pour cette saison ?
« Tout d’abord, collectivement, se maintenir dans un premier temps et après si on peut aller voir plus loin, on le fera. En suite, personnellement, c’est de m’imposer, enchaîner les matchs puis on verra par la suite ce qu’il se passera.«
Le public berjallien est un des plus présents de National 2 quel regard portes tu là dessus ?
« Ça fait plaisir parce qu’en N2, ce n’est pas souvent le cas, il y a rarement de monde au stade. Je vois qu’à Bourgoin, ce n’est pas le cas, car beaucoup de monde vient au stade. Le public berjallien est une force pour nous et ils nous permettent de toujours voir plus loin.«
